Pourquoi l’huile de palme est-elle considérée comme mauvaise ?
Semi-solide à température ambiante et neutre en goût, l’huile de palme est polyvalente, ce qui la rend intéressante d’un point de vue technologique. Mais sur le plan nutritionnel, il existe des alternatives plus saines comme l’huile d’olive.
Ces dernières années, l’utilisation et la consommation d’huiles et de graisses dérivées du palmier à huile ont suscité une vive controverse, car leur teneur élevée en acides gras saturés (en particulier l’acide palmitique) les rend peu recommandables d’un point de vue nutritionnel.
La capacité de l’acide palmitique à augmenter les niveaux circulants de cholestérol LDL (lipoprotéine de basse densité, communément appelée « mauvais cholestérol ») est bien connue. Compte tenu de l’association entre l’augmentation du taux de cholestérol LDL et le risque de maladies cardiovasculaires, les recommandations diététiques suggèrent de réduire ou de limiter l’apport en acides gras dans le régime alimentaire, y compris l’acide palmitique.
Huile de palme VS huile d’olive
Il est donc nécessaire de souligner l’importance et la chance qu’ont les pays méditerranéens comme l’Espagne de disposer d’une huile d’olive extra vierge qui représente une option beaucoup plus intéressante sur le plan nutritionnel, car elle est riche en acide oléique et en composés phénoliques uniques.
Ce sont de puissants antioxydants bioactifs qui ne sont pas présents dans d’autres huiles et graisses et dont la consommation a été associée à de nombreux avantages pour la santé.
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